vendredi 15 janvier 2010

Appels illimités

ça a été un peu rapide le jour J. Avec une accélération (ça s'écrit comme ça ?) à l'instant T. J'essaie de créer une ambiance Hubert Reeves (pour les passionnés : www.hubertreeves.info/), mais en me frottant aux maths, il ne reste que des lettres : J et T. Christine Ockrent est dans les starting blocks : elle croit qu'il s'agit d'elle. Elle se dit chouette un scoop. T'as pas révisé ta copie Christine, c'est un confrère comme vous dites dans le jargon. Je t'arrête : c'est un ovni. Si "Free your mind and your ass will follow" ne t'évoque que des cours d'anglais, c'est que tu n'as pas connu la sueur, la douceur, la rondeur, le tortillon de l'hypnotique, les chairs de poule tendues vers les basses comme des tournesols qui cherchent le soleil, mais la nuit.
Laissons tomber christine, elle ne pourra rien pour toi, pour nous, mais toi, de là-haut tu peux pas nous envoyer... nous envoyer des vacances, du temps pour s'arrêter pour regarder le temps. Bon et puis de l'argent parce qui faut pas déconner. On organiserait des soirées pour fêter le temps qui nous reste. Y a que moi pour trouver ça tonique et positif. Les autres croient que je prends du Xanax en regardant le JT. Alors que je regarde ta photo, je jardine, j'étudie, je travaille, j'aime, puis je déprime mais vraiment un chouia. Je disais à Seb que se souvenir de toi était doux et rugueux, pardonne moi pour cette banalité, mais je n'en ai pas trouvé de plus juste (c'est pas beau de vieillir). Où es-tu, en terme de réception, j'ai pas de réseau. T'es sous un tunnel ou quoi ?