mercredi 26 juin 2013

Insieme

J'ai laissé les traces de mes / nos souvenirs ici et sur ta page facebook jusqu'à il y a peu. Je suis venue te dire que l'écriture continue, mais ailleurs, loin des regards. C'est entre toi et moi maintenant que le reste s'écrit, car c'est avec et sans toi que je serai jusqu'à la fin. Mi ricordo che parlavi italiano, e è di Italia che scrivo questi alcune parole. Andiamo a scrivere insieme adesso. Scrivere avvicinandosi al più vicino all'osso. Ti porto con me.

samedi 15 septembre 2012

dimanche 20 mai 2012

Dernière soirée Atmos. J’y ai rencontré des gens qui ont partagé tes tous derniers instants. Certains que je ne connaissais pas. J’ai questionné, moins pour savoir, que pour te convoquer à un dance floor que tu aurais piétiné avec ferveur. Après t’avoir évoqué à raison, à tort et surtout à travers, je suis retourné danser et dans mes pas de danse, encore, bien plus encore, étaient les tiens. J’ai dansé les yeux fermés et quand je les rouvrais, tu étais là. Tu n’es pas resté trop longtemps, sans doute beaucoup de choses à faire, comme d’habitude, et moi j’avais trop de pas à enchaîner, alors on s’est perdu de vue à un moment. Mais, Yanou, j’ai toujours, quelle que soit ma maison, sur la table de nuit, la boite avec les deux billets de ciné. Et le reste. Surtout le reste.

jeudi 23 février 2012

J MOINS QUELQUES MOIS

Il paraît (dans les films holyly, howowo, holywodiens) que la fin est prévue pour le 21 décembre prochain. Encore une promesse politique qui ne sera pas tenue.
Les Toltèques inventèrent le calendrier aztèque, au moyen duquel tout le monde perdait énormément de temps. Il n'y avait que 5 jours par semaine et 20 jours par mois, t'imagines comment cela pouvait marcher. Les Aztèques se mirent à ajouter des jours au calendrier dans l'espoir d'y arriver et, à la fin de chaque cycle de 52 ans, ils étaient complètement épuisés. Les jours s'appelaient Eecatl; Coatl, Mazatl, Atl, et ainsi de suite, et les mois s'appelaient Atlcoualco, Etzalqualitzi, Hueiracuhilhuitl, ce qui n'arrangeait rien. Heureusement, les Aztèques furent conquis avant que les choses aillent trop loin.
PS : j'ai parlé longuement de toi avec maman aujourd'hui et j'ai dit pareil.

jeudi 15 décembre 2011

Zou !

Boulègue !

lundi 5 décembre 2011

Pas de paix

Le 1er, je m'envoyais en l'air pour rejoindre cette partie plus orientale du monde, celle d'où je t'écris. Du coup, impossible de le faire au jour J. Mieux encore, je n'y ai pas pensé un seul instant. J'y ai pensé la veille, puis le jour même ou-bli-é. Vrai, je peux invoquer le travail le matin, la course vers l'aéroport, le vol, ai-je pris ma crème, douane (ah ah ah, rien dans les poches, tout dans la tête !), papiers, valoche, tout ces sujets passionnants qui hantent le voyageur, je n'invoque rien.
Avant-hier, je lis dans le lit d'un hôtel. Titre du chapitre : lire pour ne pas laisser les cadavres reposer en paix.
C'est là que je percute pour le 1er.
Quelle idée d'appeler le jour de ta mort, le jour J.
Le jour C comme cataclysme, N comme néant, F comme faille, A comme abysse, M comme merde, et non comme confetti, nirvana, fête (teuf), abracadabra, mort de rire.
Tu restes, toujours, toute l'année et pas spécialement le 1er, voilà pourquoi il n'y a rien à invoquer.
Je continuerai à me répéter, tant qu'Alzheimer oubliera que mes synapses existent, à te faire un peu chier, un peu beaucoup à la folie passionnément.
Je ne suis pas pour laisser les cadavres en paix. Un cadavre qu'on laisse reposer en paix est définitivement mort.
Or, etc.
Je ne sais toujours pas où tu es bordel, mais j'espère au Paradis pour le climat et en Enfer pour la compagnie.

A bientôt yanou.

mardi 6 septembre 2011

Tous ceux qui restent

Il ne faut pas se fier au visible. Ceux qui laissent des commentaires et moi écrivent : c'est visible. Mais il y a en réalité tous ceux, oh bon sang si nombreux qui viennent ici et d'autres qui me parlent de toi. Entre les lignes, entre les mots, ils sont là, partout, une armée qui ne se bat même pas pour t'oublier. Pas besoin de lutter pour cela.
Tous ces mots ne sont pas seulement les miens, mais aussi les leurs, je le sais, ils me l'ont dit.
Avant qu'Alzheimer nous rattrape, un morceau écouté jusqu'à la corde :



Penso siempre a te.

samedi 20 août 2011

End of summer and beginning de la période de merde

Encore rêvé de toi dans ces rêves pas cools du matin, où je me réveille et je me rendors. Enfin je tente.
Toi, des retrouvailles, de la joie bien sûr, des larmes car mon rêve savait qu'il n'était qu'un rêve. Et la sensation de toi à côté du lit. Une sensation inquiétante : quelqu'un, quelque chose qui n'est plus vraiment toi mais qui charrie tous les souvenirs et surtout celui de ta perte.
Faut voir les choses de façon positive malgré l'angoisse et la tristesse, contre lesquelles on ne peut rien. Parfois.
On va te rejoindre, tous, tôt ou tard.
Tu manques toujours autant. En ce qui me concerne, j'essaie de faire de mon mieux. C'est très vague et c'est très bien.
L'essentiel, tu sais, l'essentiel, c'est peut-être quelque chose de très ordinaire : c'est la mémoire.
Sans ça, je t'aurais vraiment perdu pour l'éternité et je ne suis pas assez évoluée pour envisager ce genre de drame. Il y en a tant d'autres à gérer. Dans cette vie, je veux dire.
Jamais, je ne pourrais t'oublier et quand même le voudrais-je, comment échapper à tes visites oniriques, hein ?
J'ai deux mots à te dire, mais on verra ça plus tard.

dimanche 24 juillet 2011

Connected

Tu sais déjà tout ce que j'ai prévu d'écrire, parce que je te l'ai dit tout à l'heure "en vrai".
Je viens l'écrire pour laisser cette autre trace, et aussi pour m'adresser à quelqu'un qui est avec toi maintenant.
Merci infiniment à toi et à Bernard de m'écouter et de m'accompagner, encore et toujours.
J'en ai la certitude à présent : de là où vous êtes, vous m'entendez et jamais je ne vous aurais cru aussi près.
Je vois ton claquement de mains et ta tête rejetée en arrière dans un accès de fou rire et les tressautements saccadés des épaules de Bernard qui cherche toujours à juguler le sien, de rire, et qui de ce fait, rend ses sursauts joyeux encore plus incontrôlables.
Mais surtout, surtout, je vous entends rire.

vendredi 8 juillet 2011

see the sun

C'est plus un scoop, l'été c'est toi. De toutes façons dès le printemps, ça démarre. Dès qu'une histoire plane au sujet de rallonger les jours, nous y voilà. Combien de festivals, combien d'interviews trilingues, sans compter la novlangue de 7 h du mat', réservée aux initiés, celle-là.

Bon, ça c'est pour la carte postale. J'ai discuté avec O. O n'a pas les mêmes rêves que les miens car c''est normal, elle a emporté ta dernière image terrestre. Moi, je savais le boulet éternel, alors je me contente d'une photo de vous, radieux, à notre mariage avec alex.
Bien sûr, j'ai dessiné le pire dans ma tête, mais il y a une différence : je n'ai pas voulu voir ce qui, à mon sens, n'était pas toi.
Alors je garde, Musique !, les bagouzes à chaque doigts, les cendriers pleins, le démarrage du scoot avec l'antivol, l'oubli de trésor au coeur d'une soirée improbable, et au final tellement de poches dans ce treillis qu'on ne retrouve rien.
Je garde l'image d'un homme vertical que j'ai aimé passionnément. Oh oui babe.

Tout le monde se joint à moi pour t'envoyer moults énergies vibratoires (non livrées par UPS)?
T'as raison, c'est nous qui en avons le plus besoins. A très bientôt.

vendredi 6 mai 2011

Un homme heureux

Ce n'était pas ce que tu étais, un homme heureux ou bien si tu l'étais, c'était aléatoirement. Tu étais un homme joyeux. Joyeux, oui. Je me souviens de ce voyage en voiture, Marseille / Mirande pour aller voir les cousins. Que de bons et doux instants passés là-bas, que de conversations à bâtons rompus, de malentendus aussi, et d'enfant, tellement d'enfants.
Et puis sur le chemin, dans la voiture, tu m'avais avoué ton émotion, ton admiration pour cette chanson et depuis elle est toi à chaque fois que je l'entends.

Passée aujourd'hui au 7 gariel, notre première maison, dur de se souvenir du balcon, de la cuisine et du reste, mais comme je n'ai, hélas, nul endroit pour nettoyer ta tombe, et la fleurir, alors je viens ici et puis au 7 Gariel.

Je me souviens du Gers, Yann, de Mirande, du festival de Marciac. Tu nous manques infiniment, à tous.



A bientôt, Yanou.

vendredi 22 avril 2011

Hard & sweet memories

Y a deux jours, recommandée dans la boite. Putain. Illico, tu penses à un euphémisme : créancier pas payé. Sauf que.
Sauf que sur le légendaire bordereau jaune, la case cochée indique "colis". J'évacue rapidement l'idée que les créanciers aient pu passer à un mode opératoire plus radical, genre bombe piégée. En général, ils ne tuent la poule aux oeufs d'or, ils préfèrent facturer au prorata de ton silence.
Donc, poste.
Effectivement, grosse enveloppe molletonnée.
Je procède mentalement par élimination : j'ai rien commandé et j'ai rien commandé, qui m'en veut ? je veux dire qui m'en veut au point d'envoyer un truc ? Chais pas.
Donc, qui me veut du bien pour m'envoyer un cadeau ? Ouverture fébrile du paquet.
S'y trouvent, deux petits cadres enfermant deux photos. Un cliché avec ma pomme, pris dans un endroit et des circonstances que la morale réprouve, et l'autre.
L'autre. C'était un after à la rue consolat, du temps de. Du temps de nous tous. 4 mini photos, tonio, nok, toi et moi, chacun mimant la grimace qu'il maîtrise le mieux.
Alors, voilà, rue Colbert au sortir de la poste, avril 2011, je me souviens de ce petit jardin, de l'appart, de nous, de nos états d'ébriété, ivres de vie.

jeudi 31 mars 2011

Petit poucet

Encore un caillou indicateur :


Bientôt réunis, tous.
For ever.

samedi 26 février 2011

S(ame) O(ld) S(hit)

Je m'en rends bien compte : février 2011. Il y a des deuils où le temps est sans effet.

lundi 3 janvier 2011

Timestretched

Me reviennent à l'écoute de ce morceau, des après-midis et quelques afters bon poids, en compagnie de quelques franches et solides connaissances de longue date (toujours en vie).
Je ne peux même pas les faire chanter tellement leur réputation, à l'instar de la mienne, les devance.

Ouvre les esgourdes et attends l'été qui revient, oh oui, qui revient.

mercredi 1 décembre 2010

Cinque (prononcez tchincoué)

Parce que tu parlais italien aussi. En plus du reste. Des mains, du regard, des silences. Dans chaque instant, des mots. Dans chaque interstice, des lettres. Il fallait parfois des semaines, des mois, des années pour reconstituer un message, parfois une fraction de seconde.

Il y avait un truc surtout, que je comprends mieux aujourd'hui : c'est d'avoir pris volontairement le parti de la frivolité. Peut-être parce que tu croyais en la vie et non en l'homme. De l'homme, peut-être, tu n'attendais rien.
Peut-être ne croyais-tu même pas à ce que tu avais mis en place : tu te montrais dynamique, conquérant et pourtant tu ne croyais ni à l'entreprise ni aux effets consolateurs de la réussite.
Tu tenais pour réel le froid de la tombe, déjà.
Tu tenais pour réels les manques, les absences, les folies, réel, le temps passé à transformer tout ça, réelle la pathétique machinerie de la vie.
Tu étais un homme sans illusion sur le passage du temps et tu avais le panache d'être authentiquement gai.
Un homme comme un autre croise des gens comme les autres, rien ne les distingue de l'humanité passée ou à venir. Et cela n'aurait aucune importance si tu n'avais pas été, ce que je tiens pour cent fois supérieur à l'homme heureux, un homme joyeux.

jeudi 30 septembre 2010

Rouévéléchiun

Tu te rends compte de ce qui se passe, là maintenant ?
Moi, non plus.

dimanche 26 septembre 2010

Automne

Le monde s'est écroulé pour moi, il y a quelques années.
Je tue le temps dans une classe, à la maison ou sur cette magnifique agora, ruisselante d'intelligence...
En attendant que ce soit lui qui me tue.
Vive toi.

lundi 26 juillet 2010

Bison fûté

Fais la route avec Flo de Marseille à Lyon, avec une sélection bien choisie. Tu nous as accompagnée tout le long, on a retrouvé plein de trucs, des morceaux pas possibles et des souvenirs encore plus fous.

Celui-là pour le plus facile :

http://www.youtube.com/watch?v=vo782Jjx3hU

samedi 10 juillet 2010

SUMMER 2010

Je ne sais pas pourquoi ni comment, mais en cet été 2010, déchaînée. Le mot est parfaitement exact. Je retrouve, peut-être est-ce puérile, mais je m'en contrefous, la presque insouciance d'une époque, la recherche avide de transes musicales, dansantes, pour que le corps exulte, que la tête se vide, pas pour être vide, pour faire soupape.
Tu me manques toujours. On fait avec mais surtout sans.
A bientôt.

vendredi 25 juin 2010

Dense

J'ai dansé 5 heures d'affilée avec l'énergie d'une déchaînée qui n'aurait pu être calmée que par l'anéantissement de tout. Autant te dire que j'ai dansé comme une reine, définitivement insatisfaite.
Chouette, je vais pouvoir remettre ça le week end prochain, et le week end prochain, et le week end prochain...
Dans ces pas de transes musicales, les tiens.

samedi 29 mai 2010

Arakiri, le mois de Marie

Y a des trucs sur le plan de la dévastation qui laissent peu de place. Quand ça arrive, comme en ce moment, j’essais de temporiser (Carrefour dit positiver).
Il faut avoir les épaules comme une armoire normande et les couilles comme des balles de tennis, pour voir, pour vivre, ce à quoi le pire de ton imagination ne t’a jamais préparé. A cet instant, j’ai du sable dans les yeux et ce n’est plus une sensation de frottement, c’est l’équivalent de milliers de micro lames de cutter qui te lacèrent la rétine, oeil ouvert ou oeil fermé.
J’ai de la terre dans la bouche.
Tout est plus insoutenable et léger à la fois. Insoutenable parce que je suis plus vieille et plus fatiguée, plus légère parce qu’à force d’être fatiguée j’ai plus la force d’être en colère.

Mais quand c’est dur, quand c’est vraiment dur, comme en ce moment, je repense juste au moment où on m’a dit que tu n’étais plus là et aux longues années pour tenter, tant bien que mal, d’intégrer cette donnée, et je me dis que tout ne va pas si mal.
A moins que j’ai raté un épisode.

vendredi 21 mai 2010

Il n'est jamais trop tôt pour Grooverider

J'écoute ça et invariablement : dans ma tête soudain, carrefour encombré de souvenirs avec toi, images, sensations, émotions, visages, bon dieu, tellement d'autres choses, j'ai autant de souvenirs que si j'avais mille ans.

Tic-tac

mercredi 5 mai 2010

En mai fais ceque tu peux (bis repetita)

C'était en écoute dans la chambre de Jade : Remember...


mardi 30 mars 2010

Sur le fil

Souvenirs de plus en plus diffus qu'il faut aller arracher. Heureusement, je peux aller fouiller dans les boiboites.

Cette photo c'était au Midem 1999. On y avait rencontré à l'époque Kojak, Donna Dee...

YANN AU BOULOT ET AVEC DES CHEVEUX :

mercredi 17 février 2010

Févriembre

Févriembre donc, un néologisme presque suisse. Pourquoi ? parce qu’il est au milieu, neutre. Février qui nous rappelle qu’il fait froid mais que les jours rallongent. Décembre qui nous rappelle, au cas où on l’aurait oublié qu’ils fait définitivement froid et que les jours raccourcissent. On les rassemble, et pour le prix d’un mot tu gagnes un néologisme et un compromis. Une trêve du temps. C’est moi qui remonte mes couvertures le matin. Avant c’était toi déguisé en batman blanc. Je crois qu’on tient un concept, reviens on va faire un film.
Un nouveau je veux dire, une ressurection à la bretonne histoire de clouer le bec à Mel Gibson.
Suisse donc. Février / décembre / février / décembre, t’entends l’horlogerie suisse : tic tac tic tac tic tac.
Alex m’a montré un disque que tu avais anoté. J’y ai retrouvé ton écriture si particulière, tes insignes kabbalystiques tour à tour louanges ou critiques féroces, bref tes ordinaires hiéroglyphes barbouillés sur le post-it, lui-même collé à l’intérieur du CD de Green Velvet.
Ah tiens, j’ai redécouvert ça : cadeau de retrouvailles inévitables parfumées au sapin :
Saul Williams - List of demands
envoyé par didjie. - Clip, interview et concert.
Pour manquer, ça, tu manques.

vendredi 15 janvier 2010

Appels illimités

ça a été un peu rapide le jour J. Avec une accélération (ça s'écrit comme ça ?) à l'instant T. J'essaie de créer une ambiance Hubert Reeves (pour les passionnés : www.hubertreeves.info/), mais en me frottant aux maths, il ne reste que des lettres : J et T. Christine Ockrent est dans les starting blocks : elle croit qu'il s'agit d'elle. Elle se dit chouette un scoop. T'as pas révisé ta copie Christine, c'est un confrère comme vous dites dans le jargon. Je t'arrête : c'est un ovni. Si "Free your mind and your ass will follow" ne t'évoque que des cours d'anglais, c'est que tu n'as pas connu la sueur, la douceur, la rondeur, le tortillon de l'hypnotique, les chairs de poule tendues vers les basses comme des tournesols qui cherchent le soleil, mais la nuit.
Laissons tomber christine, elle ne pourra rien pour toi, pour nous, mais toi, de là-haut tu peux pas nous envoyer... nous envoyer des vacances, du temps pour s'arrêter pour regarder le temps. Bon et puis de l'argent parce qui faut pas déconner. On organiserait des soirées pour fêter le temps qui nous reste. Y a que moi pour trouver ça tonique et positif. Les autres croient que je prends du Xanax en regardant le JT. Alors que je regarde ta photo, je jardine, j'étudie, je travaille, j'aime, puis je déprime mais vraiment un chouia. Je disais à Seb que se souvenir de toi était doux et rugueux, pardonne moi pour cette banalité, mais je n'en ai pas trouvé de plus juste (c'est pas beau de vieillir). Où es-tu, en terme de réception, j'ai pas de réseau. T'es sous un tunnel ou quoi ?

mardi 1 décembre 2009

Et hop !

For, four, 4, la quadrature du cercle.

dimanche 29 novembre 2009

L'une de mes nombreuses machines à remonter le temps, celui où tu es :