dimanche 24 juillet 2011

Connected

Tu sais déjà tout ce que j'ai prévu d'écrire, parce que je te l'ai dit tout à l'heure "en vrai".
Je viens l'écrire pour laisser cette autre trace, et aussi pour m'adresser à quelqu'un qui est avec toi maintenant.
Merci infiniment à toi et à Bernard de m'écouter et de m'accompagner, encore et toujours.
J'en ai la certitude à présent : de là où vous êtes, vous m'entendez et jamais je ne vous aurais cru aussi près.
Je vois ton claquement de mains et ta tête rejetée en arrière dans un accès de fou rire et les tressautements saccadés des épaules de Bernard qui cherche toujours à juguler le sien, de rire, et qui de ce fait, rend ses sursauts joyeux encore plus incontrôlables.
Mais surtout, surtout, je vous entends rire.

vendredi 8 juillet 2011

see the sun

C'est plus un scoop, l'été c'est toi. De toutes façons dès le printemps, ça démarre. Dès qu'une histoire plane au sujet de rallonger les jours, nous y voilà. Combien de festivals, combien d'interviews trilingues, sans compter la novlangue de 7 h du mat', réservée aux initiés, celle-là.

Bon, ça c'est pour la carte postale. J'ai discuté avec O. O n'a pas les mêmes rêves que les miens car c''est normal, elle a emporté ta dernière image terrestre. Moi, je savais le boulet éternel, alors je me contente d'une photo de vous, radieux, à notre mariage avec alex.
Bien sûr, j'ai dessiné le pire dans ma tête, mais il y a une différence : je n'ai pas voulu voir ce qui, à mon sens, n'était pas toi.
Alors je garde, Musique !, les bagouzes à chaque doigts, les cendriers pleins, le démarrage du scoot avec l'antivol, l'oubli de trésor au coeur d'une soirée improbable, et au final tellement de poches dans ce treillis qu'on ne retrouve rien.
Je garde l'image d'un homme vertical que j'ai aimé passionnément. Oh oui babe.

Tout le monde se joint à moi pour t'envoyer moults énergies vibratoires (non livrées par UPS)?
T'as raison, c'est nous qui en avons le plus besoins. A très bientôt.